mercredi 31 mars 2021
mardi 30 mars 2021
Lettre ouverte adressée au Président du Conseil Départemental du Tarn
Nous reproduisons ici la lettre envoyée par une Educatrice Spécialisée d'une MECS de l'ANRAS au Président du Conseil Départemental du Tarn. Cette ES est par ailleurs une militante et élue de la CGT ANRAS.
Mr Ramond,Je suis éducatrice spécialisée dans une MECS où il fait bon travailler.Je travaille auprès de familles qui ont de grandes qualités mais qui parfois ponctuellement, parfois depuis longtemps, se trouvent figées dans des liens familiaux brouillés. Alors, nous tentons ensemble de défaire ces nœuds pour repartir du bon pied. On avance en travaillant tous dans la même direction et le Conseil Départemental finance notre travail.Seulement depuis un an, pour mes collègues, pour moi tout s'est compliqué: le covid se met en travers de notre chemin! Les situations complexes, ça nous connaît, nous sommes coriaces, on ne lâche rien, nous travaillons en équipes pluridisciplinaires, nous nous serrons les coudes et comme toujours, on avance! Nous sommes toujours là. Solidaires entre services, solidaires avec nos collègues maîtresses de maison et nos collègues surveillants de nuits toujours là depuis un an, tous les jours et toutes les nuits sur les internats de la Maison d'enfants L.B., 365 jours qui nous semblent une éternité...Savez vous que nous n'avons pas quitté nos postes, que nous avons modifiés maintes fois nos emplois du temps depuis 365 jours pour assurer, contre vents et marées, la continuité de service. Nous avons su faire un pas de côté…Le savez vous??Depuis un an, pas un mot de votre part, pas un signe de vie! Où êtes vous?Mr Ramond, vous nous avez oublié? Nous ne sommes plus dans votre champ de vision!!Aujourd'hui, je souhaite que vous fassiez un pas de côté vous aussi. Je vais vous expliquer pourquoi.Je suis élue au sein du Comité Social et Économique pour la filière Social Enfance qui regroupe notamment les établissements relevant de la protection de l'enfance. Au sein de cette instance, je porte la parole de tous mes collègues et en retour je leurs rends compte de tous les sujets traités lors des réunions plénières. Et c’est là que vous entrez en jeu Mr Ramond, j ai besoin que vous éclairiez ma lanterne, je suis très embêtée... car lors du dernier CSE de filière de notre association, j'apprends que mes collègues qui travaillent comme nous dans le secteur social, qui ont le même employeur que moi, qui assurent aussi la continuité de service comme nous depuis toujours, mais avec encore plus d'énergie et de fatigue accumulée depuis un an de Covid, et bien, mes collègues qui ont la chance (oui semble t il la chance!!) de travailler dans un autre département limitrophe, ces collègues du Tarn et Garonne, de l'Aude, de la Haute Garonne et je pourrai continuer la liste, ont eu, ou vont avoir une prime covid allant jusqu'à 1000€ pour certains Conseils Départementaux!Mr Ramond je leurs dis quoi à mes collègues Tarnais lorsque je vais arriver sur mon établissement à Graulhet, hein je leurs dis quoi ?Mr Ramond, vous nous avez oubliés !
lundi 29 mars 2021
dimanche 28 mars 2021
Motion CSE MSEA - ENI
Motion des membres du CSE de la filière médico-sociale enfance et adultes de l’ANRAS
Extension Non Importante (ENI) de l’IME Saint Jean de Plaisance du Touch.
Les membres du CSE filière MSEA, réunis ce jour, vendredi 26 Mars 2021, en instance plénière, sont informés et consultés sur l’ENI de l’IME SAINT JEAN PLAISANCE DU TOUCH .
Les membres du CSE prennent connaissance que l’ENI est déjà engagée. A ce titre, il est trop
tard pour les élu-e-s, pour émettre un avis.
Cependant, les membres du CSE notent :
- la pression faite par l’ARS pour la mise en place de cette ENI dans des délais très courts.
- l’injonction de l'ARS pour le passage en DIME avec consolidation des budgets SESSAD et IME
- que le recrutement de 4 ETP semble correspondre aux besoins de cette extension non importante, tout en précisant que concernant l’accompagnement éducatif, il paraît un peu sous-estimé au regard des pathologies des usagers accueillis.
- que l’association doit prendre la mesure des injonctions de l’ARS afin d’établir un cadre d’échange et de négociation avec cette dernière sur le passage en DIME des IME de l’ANRAS.
Par ailleurs, les élus seront très vigilants sur la concrétisation effective des embauches telles que prévues dans les documents transmis, notamment en ce qui concerne les 0.50 ETP de chef de service.
Motion soumis au vote des membres présent-e-s en séance ce jour :
Nombre de votant-e-s : 16
Pour : 16
Contre : 0
Abstention : 0
lundi 22 mars 2021
samedi 20 mars 2021
vendredi 19 mars 2021
Communiqué unitaire sur la situation des MNA
mercredi 17 mars 2021
Auch : l’EHPAD Saint-Dominique va être entièrement réhabilité
L’EHPAD Saint-Dominique d’Auch fait peau neuve. L’opération de
rénovation et de mise aux normes de sécurité et d’accessibilité devrait
s’achever en septembre 2022.
Les ouvriers longent la chapelle située au bout du jardin de l’Ehpad Saint-Dominique pour se rendre sur la zone de travaux. "Faire un chantier à côté d’un immeuble habité est une prouesse, il faut respecter la tranquillité des résidents", commente Christine Desclaux, directrice de la structure auscitaine.
L’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) a lancé une vaste opération de réhabilitation de ses locaux qui devrait s’achever en septembre 2022.
La congrégation de sœurs dominicaines, propriétaire des lieux, a contacté l’Association nationale de recherche et d’action solidaire (ANRAS) en 2017, afin de lui confier la gestion de la maison de retraite. "Pour des raisons financières, les bâtiments n’avaient pas été modernisés", explique la directrice. L’ANRAS signe alors un contrat pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) avec L’Agence régionale de santé (ARS) et le Conseil départemental du Gers. "Parmi les objectifs du CPOM avec les autorités de tarification, il y a une partie consacrée à l’investissement. C’est à ce titre que la rénovation a lieu", détaille Christine Desclaux. L’objectif du plan de 3,4 millions d’euros est de mettre l’Ehpad aux normes de sécurité et d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. "Ce qui se traduit par une simple hausse tarifaire de deux euros par jour pour les usagers, cela montre une bonne maîtrise du coût."
Les travaux ont débuté en septembre 2020, en présence de l’architecte Frédéric Airoldi et d’Alain Galy, président de l’ANRAS. "Il s’agit de la reconstruction totale du bâtiment où habitaient les sœurs. C’est la première des cinq phases, la plus longue, qui dure un an. Les chambres neuves seront plus grandes, avec des salles de bains adaptées. Sur les 22, dix seront dotées de rails pour assurer la mobilité depuis le lit", détaille la responsable.
Une rénovation en 5 phases
Au rez-de-chaussée, seront transférés la salle de restauration et les vestiaires du personnel. Ces derniers seront directement accessibles depuis l’entrée. Une façon de renforcer les mesures d’hygiène et d’éviter la propagation du virus : "Ils se changeront de suite." Trois salons seront créés au deuxième étage, "avec un balcon pour que les pompiers pénètrent rapidement dans l’immeuble".
Les quatre étapes suivantes s’étaleront chacune sur trois à sept mois. Les chambres actuelles, situées dans l’autre aile de l’Ehpad, seront mises aux normes pour les personnes à mobilité réduite. "On a un public avec des pathologies de plus en plus lourdes. Il faut du matériel et des logements adaptés." Une salle d’activités sera ensuite créée. "Aujourd’hui, les animations ont lieu dans la Rotonde. Cette dernière sera réaffectée au service des repas pour les résidents les plus dépendants", anticipe Christine Desclaux.
Les deux accès à l’établissement, rue Rouget-de-Lisle et rue de la Somme, seront réorganisés. Les services administratifs seront enfin installés au niveau de l’espace de restauration actuel. À la place des bureaux, un salon de coiffure et d’esthétique et une pièce dédiée à l’animatrice seront construits.
Un bouleversement et une amélioration de confort pour les cinq sœurs encore vivantes qui ont connu l’établissement à l’époque où les moniales accueillaient les personnes nécessiteuses pour des séjours plus ou moins longs et où elles recevaient les malades dans une salle de soins. Les religieuses, dont l’âge moyen s’élève à 90 ans, et les résidents devraient découvrir le résultat de cette renaissance en septembre 2022.
mardi 16 mars 2021
15 mars 2021 : mobilisé.e.s pour notre CC66 !
IME St Jean Plaisance
La journée a débuté tôt, à l'IME, avec une AG matinale. Lamobilisation pour la CC 66 de ce jour a connu un réel succès à l'IME St jean Plaisance. Le format petit déjeuner a bien plu... Une trentaine de collègues ont signé la feuille de débrayage (habitude dans l'établissement), des salariés en demande d'infos, posant des questions, et notamment sur les actions à venir... A refaire!!!!
ITEP Massip
Très forte mobilisation des salarié.e.s, si bien que la direction a décidé de n'accueillir les enfants que le mardi 16 au matin.
Après une présentation par le Délégué Syndical CGT des enjeux portés par les employeurs concernant la CC66 (volonté de déqualification, mise en concurrence des professionnel-le-s par un modèle de classification inique, acharnement du syndicat employeur à supprimer nos conquis sociaux, volonté de l'état de reduire le nombre de branches professionnelles pour mieux générer du "moins disant", ...) le débat était engagé...
Bien évidemment les salarié-e-s de l'établissement ont parlé de leurs
conditions de travail, de leurs salaires en berne depuis plus de 20 ans
(30% de perte de pouvoir d'achat depuis 1999) mais ils/elles ont aussi
questionné le sens de leur travail et de la qualité de l'accompagnement
des jeunes que nous accueillons en raccrochant avec beaucoup
d'intelligence professionnelle le démantellement de notre secteur avec
leurs propres revendications !! Une très belle AG donc, avec plus de 50%
des salarié-e-s ! On s'est donné rendez-vous très rapidemment pour une
nouvelle AG spécifique sur la situation de l'établissement et les
perspectives locales de lutte !!
samedi 13 mars 2021
Motion "Référent de sécurité"
vendredi 12 mars 2021
jeudi 11 mars 2021
mercredi 10 mars 2021
[Tribune] "Face aux faits de violences entre jeunes, privilégions l’action sociale, l’éducation et la médiation !"
Lundi 22 février, une jeune fille de 14 ans est morte poignardée à Saint-Chéron, en Essonne. Le lendemain, un adolescent de 13 ans a été mortellement touché au cou à Boussy-Saint-Antoine, dans le même département. Dimanche 28 février, trois jeunes ont été blessés, dont deux par arme blanche, dans la cité Charles Schmidt de Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Lundi 8 mars, deux adolescents de 14 et 16 ans ont été blessés aussi à l'arme blanche à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, et transportés en urgence absolue à l'hôpital...
Premier constat, le phénomène des bandes existe depuis toujours ; même s’il ne constitue pas le quotidien de la justice des mineur.e.s et que des désaccords font jour entre ministère de la Justice et ministère de l’Intérieur sur son importance et notamment sur son augmentation. Depuis quelques années, il prend une forme nouvelle par le canal des réseaux sociaux et une importance plus grande du fait de sa médiatisation.
"Des jeunes en souffrance"
Les regroupements violents des adolescent.e.s et jeunes majeur.e.s viennent signifier aux adultes et aux institutions leurs difficultés à vivre dans certains de nos quartiers et de nos villes. Loin des propos hâtifs, sécuritaires et des "brèves de comptoir", échangés largement par des chroniqueurs et des politiques dans certains médias, nous disons que la plupart de ces jeunes, parfois en situation de délinquance, parfois violents, sont avant tout des jeunes en souffrance, en difficultés sociales, scolaires, personnelles.
Les trois rixes qui ont eu lieu dans le département de l’Essonne et Seine-Saint-Denis ces derniers jours, occasionnant décès et blessures graves, questionnent plus largement sur l’existence, l’insuffisance voire l’absence de moyens pour les services publics d’éducation et de protection de l’enfance, de prévention spécialisée et de médiation.
"Des réactions violentes désastreuses"
Comme ont pu le rappeler des médiateurs intervenant dans les quartiers, pour les jeunes, se regrouper en bande "c’est une façon de se protéger", face à un monde dangereux parfois relégué, où la confrontation sociale avec les pairs peut rapidement survenir, entraînant des réactions violentes désastreuses et dramatiques, souvent regrettées quelques instants après, mais hélas trop tard…
Aujourd’hui, dans beaucoup de quartiers, les jeunes peuvent être livrés à eux-mêmes. La plupart des services publics sont menacés et fonctionnent avec des moyens ne leurs permettant pas d’offrir un service de qualité à la population avec des horaires adaptés pour tous les âges, notamment les jeunes. Quant à la prévention spécialisée, celle-ci fait cruellement défaut sur certains territoires, ne disposant pas des moyens suffisants pour mettre en place des actions d'envergure à la hauteur des besoins et des enjeux.
Une action associative "de plus en plus fragile"
Le monde associatif est présent, de plus en plus investi, porteur d’idées novatrices. Mais si son intervention repose sur des bonnes volontés incontestables et une énergie notable de ses membres, elle ne saurait combler le vide, trop souvent constaté, laissé par la disparition des services publics. Le manque de locaux pour l’accueil des publics jeunes et la baisse des subventions vers ces associations rendent leur action de plus en plus fragile.
Ennui, désœuvrement, frustration, phénomènes d’errance : certains jeunes se créent des espaces qu’ils et elles investissent avec parfois des conséquences sociales et judiciaires qu’ils ne mesurent pas.
Face à une telle situation, il est plus qu’urgent de rompre avec les politiques sociales, éducatives, économiques en vigueur depuis ces trente dernières années. Cela passe par un réinvestissement public des espaces, notamment dans les territoires urbains et ruraux touchés par la désertification des services publics !
Des solutions par l'éducation, la prévention, la médiation
Pour cela, nous proposons que soient mis en débat et en action les propositions suivantes :
- mise en place d’une éducation à la non-violence en direction des enfants et des adultes avec l'ensemble des acteurs de l'éducation et de la protection de l'enfance, dans laquelle l'Éducation nationale devra avoir un rôle, majeur, à jouer ;
- renforcement des services de la prévention et de la protection de l’enfance ;
- renforcement de la place et du rôle des familles, loin des paroles et mesures stigmatisantes ;
- création de postes supplémentaires de médiateurs sociaux, bien formés, disponibles sur l’espace public et à des horaires adaptés ;
- soutien des associations locales en terme de moyens au regard de leur rôle essentiel et complémentaire dans les solidarités et la prévention quotidienne;
- développement d’une politique de soins à l’adresse de certains jeunes en grande souffrance psychologique notamment par la mise en place de services de pédopsychiatrie et de CMP en nombre suffisant et accessibles, permettant de détecter les difficultés le plus tôt possible, si besoin en lien avec les écoles et les associations, pour les prévenir le plus en amont ;
- accroissement de la place des adultes auprès des jeunes en établissant une politique où chacun peut par son action participer à la co-éducation, ceci afin d’intervenir avant qu’il ne soit trop tard.
Ces mesures ou axes de réflexion ne peuvent avoir de sens que si l’on remet de manière substantielle les moyens vers l’éducation, la prévention spécialisée, la médiation et l’ensemble des services publics, notamment dans les départements les plus pauvres et sous dotés budgétairement.
Depuis trop longtemps, les politiques libérales ont déconstruit l’état social au profit de politiques sécuritaires renforçant les mesures pénales et leur mise en œuvre, au détriment d’un travail de fond, en amont. Aujourd’hui, il faut faire le choix de la prévention et de l’éducation.
La liste des signataires :
Françoise Dumont, présidente d'honneur de la Ligue des Droits de l'Homme
Katia Dubreuil, présidente du Syndicat de la magistrature
Estellia Araez, présidente du Syndicat des avocats de France (SAF)
Sonia Ollivier, co-secretaire nationale du Syndicat national des personnels de l’education et du social à la protection judiciaire de la jeunesse (SNPES-PJJ-FSU)
Benoît Teste, secrétaire général de la FSU
Malik Salemkour, président de la Ligue des Droits de l'Homme
Marwan Mohammed, sociologue
Laurence De Cock, historienne, membre de la LDH
Rodrigo Arenas, co-président de la FCPE
Brice Castel, co-secrétaire général SNUASFP FSU
Carlos Lopez, éducateur à la PJJ, ancien co-secrétaire national du SNPES-PJJ-FSU
Yazid Kherfi, association Médiation nomade.
Carole Sulli, avocate, commission mineurs du SAF
Lakdar Kherfi, militant associatif
Laurence Roques, présidente de la Commission Libertés et Droits de l'Homme du CNB
Nathalie Andrieux Hennequin, co-secretaire générale SNUASFP FSU
Sophie Legrand, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature, juge des enfants
Meriem Ghenim, avocate au barreau de la Seine-Saint-Denis
Hélène Puertolas, co-Secrétaire générale SNUTER-FSU
Pascal Filleul, secrétaire départemental Inter 87-FSU
Nadir Kahia, président de Banlieue +
Belabbas Mehdy, militant associatif, éducateur PJJ
Nathalie James, co-secrétaire nationale SNPES-PJJ/FSU
Carla Dugault, co-présidente de la FCPE
Simon Duteil, co-délégué général Union syndicale Solidaires
Murielle Guilbert, co-déléguée générale Union syndicale Solidaires
Herve Hamon, magistrat honoraire, ancien président du tribunal pour enfants de Paris, membre de l'AFMJF
Anne Leclerc, éducatrice retraitée, ancienne secrétaire générale du SNPES-PJJ/FSU
Christophe Caron, éducateur PJJ, co-secrétaire national SNPES-PJJ/FSU.
Élisabeth Audouard, avocat
Claire Grover, présidente et bénévole de l'Association Bagagérue
Benoît Hubert, secrétaire général du SNEP-FSU
Pierre Lecorcher, secrétaire général adjoint CGT PJJ
Aurélie Trouvé, porte-parole d'ATTAC
Raphael Pradeau, porte-parole d'ATTAC
Alexandra Meynard, dirigeante confédérale en charge du service public
Yannick Apy, chargé de mission formation professionnelle
Philippe Piau, comédien, metteur en scène, membre du réseau des Dialogues en humanité
Fanny Salane, enseignante-chercheuse en sciences de l'éducation, Université Paris Nanterre
Christian Delorme, prêtre du diocèse de Lyon, ancien membre du Haut Conseil à l'Intégration, co-initiateur de la Marche pour l'égalité et contre le racisme de 1983
Malek Boukerchi, anthropologue du lien social, philoconteur, ultramarathonien de l'extrême
Pierre Ravinet, responsable associatif
Jean-Jacques Yvorel, éducateur, historien, chercheur associé au CESDIP.
Esther Tonna, membre de la CE de l'UFAS CGT
Sophie Herlin, membre de la CE de la Fédération des Services Publics CGT
Céline Verzeletti, responsable confédérale CGT
Christophe Daadouch, formateur
Christine Cayre
Marc Brzegowy, directeur honoraire Protection Judiciaire de la Jeunesse
Nicolas Beriot, citoyen
Jeanne Demoulin, maîtresse de conférences en sciences de l'éducation, université Paris Nanterre
Éric Roulot, maire (PCF) de Limay.
Xavier Beaudoin, formateur spécialiste en pédagogies créatives, praticien-chercheur en économie circulaire, optimisation et mutualisation des usages.
France Doerler
Muriel Scibilia
Bertrand Baudez, facilitateur de relations humaines - Médiateur
Myriam Correcher, enseignante, visiteuse de prison (Fresnes)
Aïcha Naceh, directrice adjointe de centre de loisirs, travailleur social.
Murielle Maffessoli, directrice pour l'association Observatoire Régional de l'Intégration et de la Ville (ORIV)
Stéphane Danancier
Pavo, dessinateur de presse.
Pascal Marcault
Anne de Béthencourt, fondatrice de Reset the World, directrice du développement de la Heart Leadership University
François Besse, ancien détenu
Olivier Brito, maître de conférences en sciences de l'éducation, Université Paris Nanterre
Lucille Rouet, secrétaire nationale du syndicat de la magistrature, juge des enfants
Kristel Lepeu, avocate
Florence Chopin, avocat
Céline Azema, vice-présidente du tribunal pour enfants de Toulouse
Anaïs Vrain, juge des enfants
Josiane Morel Faury, avocat
Michèle Zemor, professeur retraitée, ex-conseillère région Île-de-France, vice-présidente de l'association Plaine Commune, adjointe au maire de Saint-Denis
Juliette Beigelman, ancienne éducatrice PJJ, élève-avocate
Valerie Perret, avocate
Dominique Attias, avocate d'enfants, ancienne vice-bâtonnière du Barreau de Paris
Hervé Heurtebize, éducateur spécialisé, secrétaire national SNUTER-FSU
Catherine Delanoë Daoud, avocate, membre de l'Antenne des mineurs
Gaelle Chollet, assistante de service social SNUTER18-FSU
Rachida El Hajoui, adjointe au maire de la ville de Limay (jeunesse, insertion professionnelle et emploi)
Sandrine Fornara, conseillère en formation continue, GIP Formation tout au long de la Vie (Nancy) en charge de la professionnalisation des médiateurs sociaux en contrat adultes-relais du Grand-Est
Sébastien Carpentier, juge des enfants au tribunal judiciaire de Nanterre
Julie Maire,
Isabelle Roth, avocat au Barreau de PARIS
Johanne Sfaoui, avocate au Barreau de PARIS
Thierry Brigodiot, chef d'une petite entreprise
Dominique Gregori Gilbert,
Delphine Colin, secrétaire nationale UFSE CGT
Marie Buisson, secrétaire générale FERC CGT
Sophie Leonard, psychologue/musicothérapeute
Jacques Lecomte, docteur en psychologie, président d'honneur de l'Association française de psychologie positive, membre du mouvement convivialiste et du comité scientifique de la Fondation Nicolas Hulot.
Odile Barral, juge des enfants
Éric Roulot, maire de Limay
Samia Chiki, journaliste et militante associative
Nawel Oumer, avocate et médiatrice, antenne des mineurs du barreau de Paris
Judith Zaoui, avocat
Nancy Bragard, facilitatrice
Annie Lahmer, conseillère Régionale Ile de France
Samir Allel, sociologue
Béchir Saket Bouderbala, consultant en affaires publiques, porte-parole de L630
Pierre Serne, conseiller régional écologiste d'Ile-de-France, conseiller municipal de Montreuil (93)
Nour Durand-Raucher, conseiller de Paris délégué à la prévention, médiation, sûreté dans le 11e.
Jérome Casteran, co-secrétaire national du SNPES PJJ FSU
Jean-François Monino, président d’Aubermédiation, maire adjoint honoraire d’Aubervilliers
Khaled Benmohamed, adjoint au Maire de Vitry-sur-Seine
Jean Marc Soubeste, conseiller municipal et communautaire. La Rochelle
Vanina Padovani, avocate
Gérard Gilbert, retraité
Paul Devin, président de l'Institut de recherches de la FSU, secrétaire général du SNPI-FSU
Clémentine Autain, députée (La France insoumise) de Seine-Saint-Denis
Elsa Faucillon, députée (PCF) des Hauts-de-Seine
Rabah Bouchaib,
Éliane Assassi, sénatrice (PCF) de la Seine-Saint-Denis
Vito Fortunato, Co-secrétaire national du SNPES-PJJ/FSI
Nabila Keramane, cadre EELV, ex-consillère régionale 78