mardi 18 juillet 2023
Loi "plein emploi" : les handicapé·es réquisitionné·es !
lundi 10 juillet 2023
Pétitions déposées : On est toujours là ! 183€ pour toutes et tous !
Lancée au début du mois de juin, notre pétition a dépassé les 700 signatures !
Nous l'avons remise ce lundi à la Direction Générale de l'ANRAS...
dimanche 9 juillet 2023
Décès de Mireille Laffont
Notre camarade Secrétaire de l'Union Syndicale Départementale du Tarn-et-Garonne, Mireille Laffont, s'en est allée.
Nous reprenons les mots de notre camarade Laurent Noël :
C'est exactement ça : toujours le poing levé et toujours la victoire en ligne de mire !Mireille nous a manqué, nous manque mais nous allons continuer à nous organiser comme elle nous l'a montré pour aller les chercher ces victoires, ces dignités, cette fierté d'appartenir à son USD !
mercredi 5 juillet 2023
[A lire] Délivrez-nous du management !
Retrouvez la biographie de Jean-François Gomez
Présentation de l'éditeur
Il est temps de « libérer l’avenir », selon l’expression d’Ivan Illich, face à un « désordre établi » que l’on constate sur le terrain. Cela, les « travailleurs de l’humain » l’ont compris depuis longtemps. L’auteur fait appel tant aux travaux des grandes figures de la Psychothérapie Institutionnelle (Jean Oury, François Tosquelles), mouvement toujours vivant, qu’aux idées de poètes, penseurs et praticiens (Simone Weil, Yves Bonnefoy, René Char).
Ces réflexions glanées au fil de l’expérience, et dans les récits de vie nous aident à trouver de nouvelles voies.
Connaitrons-nous l’amour du travail bien fait dans « les métiers de l’humain » ? Il faut remettre en question les directives absurdes qui gangrènent peu à peu notre système de santé comme nos structures médico-sociales. Il en va de notre dignité et de notre humanité.
Délivrez-nous du management !
Voici donc la prière et le cri de révolte de Jean-François Gomez, face à la nouvelle idéologie de notre temps. Il faut sortie du management dans ces métiers, où le politique et le poétique ne cessent de nous interpeller.
Longtemps éducateur puis directeur d’institution à Paris et à Montpellier ; docteur en sciences humaines, chercheur et transmetteur, Jean-François Gomez est défenseur de la formation dans tous les lieux où se rencontrent le handicap, la maladie, la folie et l’exclusion.
Editions Libre & Solidaire
37, rue Clisson – 75013 Paris
01 48 74 15 23
www.libre-solidaire.fr
libre.solidaire@gmail.com
Prix TTC : 18,50€
Nombre de pages : 216
ISBN : 9782372631310
Santé des femmes au travail : mettre des mots sur des maux invisibles
Pendant plus de six mois, la délégation aux droits des femmes du Sénat s’est penchée sur la santé des femmes au travail, sujet encore largement méconnu voire ignoré par les pouvoirs publics comme par les employeurs. Pour une meilleure prise en compte de la santé des femmes au travail, le rapport formule vingt-trois recommandations qui s’articulent autour de trois grands axes.Usure physique et psychique, troubles musculo-squelettiques (TMS), cancers, violences sexuelles et sexistes (VSS) : les répercussions du travail sur la santé des femmes ne sont que trop rarement prises en compte dans la sphère professionnelle. Pourtant les chiffres sont éclairants :De même, les difficultés associées à la santé sexuelle et reproductive (pathologies menstruelles incapacitantes, grossesse, infertilité, ménopause) font encore l’objet, au mieux d’une méconnaissance, au pire d’un déni voire d’une stigmatisation dans le monde du travail.Le rapport de la délégation et de ses quatre rapporteures, Laurence Cohen, Annick Jacquemet, Marie-Pierre Richer et Laurence Rossignol, entend mettre enfin des mots sur ces maux invisibles. Il dresse un panorama des risques professionnels auxquels les femmes sont exposées, avec des focus sur quatre secteurs à prédominance féminine : les métiers du care ; les professions du nettoyage ; le secteur de la grande distribution ; les métiers de représentation tels que les mannequins et hôtesses d’accueil. Il interroge également le rôle assigné aux femmes dans l’emploi et l’impact de leurs conditions de travail sur leur santé.Le déficit persistant d’approche genrée en matière de santé au travail a pour conséquence l’insuffisance de la prévention en direction des femmes, d’autant plus marquée avec une médecine et une inspection du travail sinistrées. Le manque de reconnaissance de la charge physique et mentale du travail des femmes est ainsi à l’origine d’impensés féminins dans la conception et la mise en œuvre des politiques de santé au travail. Parce que différencier n’est pas discriminer, la délégation rappelle que mieux protéger la santé des femmes au travail permet non seulement d’œuvrer en faveur de l’égalité professionnelle mais aussi d’améliorer la situation de toutes et tous dans la sphère professionnelle.Pour une meilleure prise en compte de la santé des femmes au travail, le rapport formule vingt-trois recommandations qui s’articulent autour de trois grands axes :- chausser systématiquement les lunettes du genre ;- développer et adapter la prévention à destination des femmes ;- mieux prendre en compte la santé sexuelle et reproductive au travail, en particulier les pathologies menstruelles incapacitantes et les symptômes ménopausiques.