En préambule, nous avons évoqué les situations à St François et au Naridel.
L'application de l' "Accord Transferts"
D'entrée, nous avons expliqué qu’à peine signé l’accord transfert était impossible à appliquerNous avons rappelé que le nombre de 4 personnels éducatifs pour les transferts venait aussi des cadres. Pour la CGT, la ficelle était grosse : chercher à annuler des séjours, au motif que les organisations syndicales sont irresponsables, était inacceptable.
Les syndicats ne remettent pas en cause, dans aucun établissement, les séjours organisés et présentés en CE avant la signature de l’accord. Après nous avoir remercié pour notre sens des responsabilités, le directeur général a demandé à la DRH d’appeler les directions qui feraient barrage…
L' "Accord sénior"
Celui-ci reste ouvert pour l’abondement PRP, aux seuls personnels qui auraient, à partir de 60 ans, 150 trimestres.
Nous avons souligné qu’il n’était pas possible de mettre un chiffre (300 000 euros) en plafond, qu’à la rigueur ce n’était qu’une base de départ mais qu’il fallait qu’il abonde en fonction des besoins.. Le directeur général a dit pouvoir mettre davantage sur la table..., il a avancé 500 000 euros.
Nous avons à nouveau demandé un chiffrage et des exemples d’effets sur les revenus de salarié.e.s par catégorie. Au vu des excellents résultats de l’ANRAS et du CITS, il n’est pas envisageable qu’on nous propose de partager les miettes.
Nous avons rappelé que si un senior signait, il devait avoir l’assurance que c’était jusqu’à son départ en retraite et donc 3 ans maxi en l’état des textes et des conditions PRP et avons demandé 15 % du salaire par mois et non pas 10 % annuel en une seule fois.
Enfin nous avons insisté sur le tutorat et l’apprentissage.
...et nous avons réitéré la nécessité de propositions bien avant le jour de la négociation.
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